Ce qu’on peut faire pour mieux vivre!
Ce que nous avons essayé
Ce qui se passe chez nous
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12/14Frédérique GIRAUDHier au marché de Noel, je me suis rendue sur le stand de l'association "Les pas possibles de Quentin" acheter des petits gâteaux de Noel pour financer le programme de rééducation d'un jeune ado de 16 ans de notre région qui met toutes ses forces pour réussir à marcher un jour, malgré son infirmité motrice cérébrale liée à sa naissance prématurée. Son courage, sa résilience et l'esprit positif de ses parents m'ont profondément touchée. Je lui souhaite tant de réussir.
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12/14Frédérique GIRAUDCet après-midi, comme hier, je me rends au marché de Noël d’une commune voisine, dans laquelle nous tenons un stand avec les autres bénévoles de l’association Auvergne Mainpat Tibet dont je fais partie. Le produit de nos ventes sera envoyé au camp de réfugiés de Mainpat en Inde, dans lequel figurent nombre de nos familles protégées Tibétaines qui ont fuit le Tibet suite à l’occupation chinoise. Je suis très fière et très heureuse d’œuvrer pour cette association caritative depuis 12 ans. Je suis intimement liée à la famille Tibétaine que je parraine là bas, ainsi qu’à tous les membres de l’association avec lesquels nous faisons de notre mieux pour récolter des fonds supplémentaires. Le peuple tibétain, profondément bouddhiste, est d’une extrême sagesse, et empli de courage et de compassion. L’histoire de son pays est d’une profonde tristesse.
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12/14Leclere PhilippeJe suis tresorier du cafe associatif de notre village. Ce cafe organise des evenements pour rassembler les habitants dans un endroit convivial. Le but etant d'ouvrir tous les samedis. Cela permet aux habitants de se rencontrer et de se connaitre.
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12/14Leclere PhilippeJ'ai beaucoup diminue la consommation de viande car l'elevage genere beaucoup de CO2 par rapport a leur equivalent vegetale. De plus, on decouvre que leur elevage en masse est source de maltraitance. Enfin, la consommation excessive est mauvaise pour la santé. Que de bonne raison pour diminuer cette consommation.
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12/13Frédérique GIRAUDCe soir ou demain, je vais trier parmi mes livres, ceux que je ne veux pas garder et que je ne souhaite pas relire afin de les déposer à la boîte à livres en bas de chez moi. Ce type de gestes est à multiplier car cela vient en aide aux personnes qui n’ont pas les moyens d’acheter des livres variés, et c’est aussi un joli mode partage qui lutte contre la surconsommation qui coûte si cher à l’environnement. À nouveau un petit geste. Mais qui compte.
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12/13Frédérique GIRAUDAujourd’hui j’ai deposé mon ancienne carte bancaire périmée à mon agence bancaire afin qu’elle soit recyclée. D’ordinaire, je ne prenais jamais cette peine et je la jetais après l’avoir détruite. Je me sens fière d’avoir fait ce petit geste. Car j’ai compris que toutes les actions comptent et que les petits ruisseaux font les grandes rivières.
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12/13Gyung Jin KIMAujourd\'hui j\'ai mis à disposition le sac à tri au bureau et ai encouragé mes collègues de faire le tri. Je leur ai dit que je les déposerai moi-même dans le bac qui est dans le local du sous-sol. J\\\'aimerais tenir ma promesse et faire le tri systématiquement au bureau.
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12/13Frédérique GIRAUDJe jette désormais systématiquement l'ensemble de mes déchets alimentaires dans ma petite "poubelle à compost" placée dans ma cuisine vers le plan de travail. J’y place un petit sac poubelle compostable à l’intérieur. Lorsqu’il est plein, je le ferme et le place dans un seau hermétique plus grand que je laisse sur mon balcon. Et lorsque j’y ai versé plusieurs poubelles, j’amène le tout au collecteur publique de déchets alimentaires qui a été installé dans mon quartier. Je suis vraiment heureuse d’avoir mis cela en place. Grâce à Sunim et à Jungto Dharma School, j’ai pris conscience du coût engendré par le traitement de nos déchets alimentaires. Je n’en avais aucune conscience ! Je me sens fière que ces déchets soient désormais réutilisés. Et je trouve même cela beaucoup plus pratique et agréable de ne plus encombrer ma poubelle « normale » avec ce type de déchets biodégradables. J’ai désormais du mal à envisager de faire autrement. Et j’ai un pincement au cœur lorsque je vois autour de moi que beaucoup de gens ne sont pas encore suffisamment sensibilisées pour franchir le pas. J’essaie d’en expliquer les bienfaits mais ne rencontre pas jusqu’à présent beaucoup de succès. Ce que je comprends car, moi-même, il n’y a pas si longtemps, était dans ce cas.
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12/13Ha Le NguyenJe n’ai pas jeté de nourriture aujourd’hui. J’ai mangé le reste et gardé de la nourriture qu’on m’a donné dans l’avion pour manger quand j’ai faim.
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12/13Ha Le NguyenJe n’ai pas jeté de nourriture aujourd’hui. J’ai mangé le reste et gardé de la nourriture qu’on m’a donné dans l’avion pour manger quand j’ai faim.

