Si vous avez le cœur brisé par la mort de votre enfant,
essayez de penser comme suit :

Tant que vous continuerez à pleurer sa mort,
le défunt ne pourra pas aller au paradis, si vous êtes chrétien,
ou au pays du bonheur, si vous êtes bouddhiste,
laissant l’âme de l’enfant errer.

Il faut couper les liens et le laisser partir.
C’est bon pour l’enfant, c’est bon pour vous.